au Frac Picardie
du 16 mars au 1er juin
La danse macabre est une suite, une succession de vivants et de morts. Une farandole de squelettes souvent espiègles qui dansent et chahutent de malheureux vivants accablés en les entraînant avec eux. Une danse macabre, c’est terrifiant mais c’est joyeux. On ricane, on s’effraie mais on y est bien, on y est multiple !
Depuis plusieurs mois, le Frac travaille avec David Prudhomme sur ce sujet, son abondante iconographie et sa réactualisation en s’interrogeant sur ce que la Danse macabre raconte de notre époque et si elle peut être une caisse de résonnance de nos propres tragédies et interrogations contemporaines.
En écho à cette exposition, les travaux de recherches seront présentés lors du festival.